CORRECT LYRICS
Lyrics : Soul’Sodium Industrie
Hausse en flèche, news du cash, les nouvelles sont fraîches
Vu le communiqué des rapports machines et portefeuilles de mèche
Marchant plein pot, l'industrie exploite son rendement
Sur un air de Charlie Chaplin sans modernité dans l'écran
Les académiciens du Soul Sodium restent méthodiques
Planifient leurs écrits loin des écoles de chant cathodique
C'est mécanique, l'indépendance fait commе elle peut
Pratiquе l'humilité des pet**s bolides roulant sur la pointe des pneus
Ah, messieurs, le monopole ils savent qu'ils le saignent à blanc
Bush, Kerry et Ben Laden, beaucoup baignent là-dedans
Si tu l'captes, maintiens l'cap des locos sans MacDo, ne rêve plus de paquebots
L'époque nous force à naviguer dans les mêmes flaques d'eau
La bête sommeille, cependant qui prête l'oreille
Faut bien l'admettre, Gulliver graille et laisse les miettes au personnel
Sur toute la ligne, un mielleux basique masque les dérives
Les vieilles ficelles s'effilochent, c'est pénible
Enfourchant des cana**ons d'conquête en compilation
Déplaçant des populaces en fonction des conspirations
La paix dans l'monde a mauvaise presse, et elle, qui la sécurise?
Quand l'roi des fêlés s'prend, lui, pour l'as de l'intempérie
Si l'atypique nous tape à l'œil et nous rend malade
C'est qu'nos visions dénichent les maux, déclics refusant l'escalade
Si tout s'dérègle, faudra un bête de dépannage
Y a pas d'SAV qui t'reprend l'époque dans son emballage
Perdus sur une sphère où les ulcères et les exclus prolifèrent
L'existence, un chemin d'pénitence en solitaire
Parmi des chimères bien mises en évidence qui vocifèrent
Les rues sont devenues l'champ d'action des structures policières
L'ascension des élus les plus autoritaires fait qu'le futur n'est plus aussi clair
Y a trop d'répression, trop d'misère que nos cerveaux digèrent
En rupture avec cette culture somnifère
Qui vomit d'l'air, vu qu'faut distraire la population
Aliénation prioritaire, marketing, magazines et packaging a**a**inent nos critères
On n'peut plus être sans avoir, c'est l'unique auxiliaire
Qui permette de s'a**eoir à la table des négociations
Et d'rendre supportable c't ordinaire d'spéculations immobilières
La création sert d'faire-valoir à l'expansion d'vos filières
En réaction c'est d'notre pa**ion qu'on reste dépositaires
C'est une histoire de parallèles
De placement, de paramètres, de vachement ou de bagatelle
De relâchement, des grands méchants à la Azrael
De gens emmerdants répondant tous présents à l'appel
De speakerines, Marie-Anne Chazel, Annabelle, Julia Chanel
Ça parle de femelle, excusez-moi mademoiselle
Pourquoi tu la ramènes, ça parle de guerre, de caravelle
De keums tout shtraques sur la pa**erelle
De 2Pac à Machiavel
De gars qui dit qu'il s'fait per-fra et qu'il a pas d'attelle
Tommy qui s'dit ness-bi
Ici c'est teu-shi gras, ganja, caramel
C'est comme Bursty à Sarcelles
Le chaos des villes ça harcèle
On est des artistes aux écrits libres de droit chez la SACEM
De peinture, deux-trois pastels, des murs, des toiles
Des graffs, des portraits bidons faits à l'aquarelle
Des forfaits d'phone d'Alcatel, des hamburgers, des fallafels
Des à la traîne, rendez-vous Porte de la Chapelle
(Soul' Sodium)
À court de mots, l'époque fuse, déraille, parfois perd le Nord
S'emballe grave et t'use pendant qu'tes potes filent
Équipé large sourire, profil-type
Le larfeuille dictant les règles de ce type triste
Rames bondées, bousculades bruyantes
Odeur lourde d'une meute, rafale en sortie d'taf
Époque fière, progresse à la ma**e
Et fabrique des allures fades qu'on piste à la trace
Des silhouettes frôlent l'abîme, bra**ent la ville
Se croisent sans cesse sans s'voir, palabres sans fil
Époque fière du volt à la Lune et d'ses contraires
Du Colt à la plume
Des fois j'me dis, Soklak, qu'est-ce que tu fais dans c'monde de narvalos
T'aurais dû rester dans les couilles de ton père, en plus il a arrêté l'vélo
Mais me v'là coincé dans cet engrenage monodimensionnel
Où les écrans plats font soi-disant des merveilles
Cette époque veut qu'les combats s'mènent sur Internet
Que du pixel et plus d'pavés à foutre dans les fenêtres
Ça s'embrouille sous lithium, kit mains libres et autres gadgets
Pendant qu'les couples se forment sur les forums de la jaquette
À cause d'une poignée d'acariâtres bureaucrates qu'ont les cartes
On s'écarte de la possibilité que notre progéniture puisse kiffer un souffle d'air pur
Dans la grisaille de nos mégapoles policées à la pogne d'États policiers
[Scratches]
Vu le communiqué des rapports machines et portefeuilles de mèche
Marchant plein pot, l'industrie exploite son rendement
Sur un air de Charlie Chaplin sans modernité dans l'écran
Les académiciens du Soul Sodium restent méthodiques
Planifient leurs écrits loin des écoles de chant cathodique
C'est mécanique, l'indépendance fait commе elle peut
Pratiquе l'humilité des pet**s bolides roulant sur la pointe des pneus
Ah, messieurs, le monopole ils savent qu'ils le saignent à blanc
Bush, Kerry et Ben Laden, beaucoup baignent là-dedans
Si tu l'captes, maintiens l'cap des locos sans MacDo, ne rêve plus de paquebots
L'époque nous force à naviguer dans les mêmes flaques d'eau
La bête sommeille, cependant qui prête l'oreille
Faut bien l'admettre, Gulliver graille et laisse les miettes au personnel
Sur toute la ligne, un mielleux basique masque les dérives
Les vieilles ficelles s'effilochent, c'est pénible
Enfourchant des cana**ons d'conquête en compilation
Déplaçant des populaces en fonction des conspirations
La paix dans l'monde a mauvaise presse, et elle, qui la sécurise?
Quand l'roi des fêlés s'prend, lui, pour l'as de l'intempérie
Si l'atypique nous tape à l'œil et nous rend malade
C'est qu'nos visions dénichent les maux, déclics refusant l'escalade
Si tout s'dérègle, faudra un bête de dépannage
Y a pas d'SAV qui t'reprend l'époque dans son emballage
Perdus sur une sphère où les ulcères et les exclus prolifèrent
L'existence, un chemin d'pénitence en solitaire
Parmi des chimères bien mises en évidence qui vocifèrent
Les rues sont devenues l'champ d'action des structures policières
L'ascension des élus les plus autoritaires fait qu'le futur n'est plus aussi clair
Y a trop d'répression, trop d'misère que nos cerveaux digèrent
En rupture avec cette culture somnifère
Qui vomit d'l'air, vu qu'faut distraire la population
Aliénation prioritaire, marketing, magazines et packaging a**a**inent nos critères
On n'peut plus être sans avoir, c'est l'unique auxiliaire
Qui permette de s'a**eoir à la table des négociations
Et d'rendre supportable c't ordinaire d'spéculations immobilières
La création sert d'faire-valoir à l'expansion d'vos filières
En réaction c'est d'notre pa**ion qu'on reste dépositaires
C'est une histoire de parallèles
De placement, de paramètres, de vachement ou de bagatelle
De relâchement, des grands méchants à la Azrael
De gens emmerdants répondant tous présents à l'appel
De speakerines, Marie-Anne Chazel, Annabelle, Julia Chanel
Ça parle de femelle, excusez-moi mademoiselle
Pourquoi tu la ramènes, ça parle de guerre, de caravelle
De keums tout shtraques sur la pa**erelle
De 2Pac à Machiavel
De gars qui dit qu'il s'fait per-fra et qu'il a pas d'attelle
Tommy qui s'dit ness-bi
Ici c'est teu-shi gras, ganja, caramel
C'est comme Bursty à Sarcelles
Le chaos des villes ça harcèle
On est des artistes aux écrits libres de droit chez la SACEM
De peinture, deux-trois pastels, des murs, des toiles
Des graffs, des portraits bidons faits à l'aquarelle
Des forfaits d'phone d'Alcatel, des hamburgers, des fallafels
Des à la traîne, rendez-vous Porte de la Chapelle
(Soul' Sodium)
À court de mots, l'époque fuse, déraille, parfois perd le Nord
S'emballe grave et t'use pendant qu'tes potes filent
Équipé large sourire, profil-type
Le larfeuille dictant les règles de ce type triste
Rames bondées, bousculades bruyantes
Odeur lourde d'une meute, rafale en sortie d'taf
Époque fière, progresse à la ma**e
Et fabrique des allures fades qu'on piste à la trace
Des silhouettes frôlent l'abîme, bra**ent la ville
Se croisent sans cesse sans s'voir, palabres sans fil
Époque fière du volt à la Lune et d'ses contraires
Du Colt à la plume
Des fois j'me dis, Soklak, qu'est-ce que tu fais dans c'monde de narvalos
T'aurais dû rester dans les couilles de ton père, en plus il a arrêté l'vélo
Mais me v'là coincé dans cet engrenage monodimensionnel
Où les écrans plats font soi-disant des merveilles
Cette époque veut qu'les combats s'mènent sur Internet
Que du pixel et plus d'pavés à foutre dans les fenêtres
Ça s'embrouille sous lithium, kit mains libres et autres gadgets
Pendant qu'les couples se forment sur les forums de la jaquette
À cause d'une poignée d'acariâtres bureaucrates qu'ont les cartes
On s'écarte de la possibilité que notre progéniture puisse kiffer un souffle d'air pur
Dans la grisaille de nos mégapoles policées à la pogne d'États policiers
[Scratches]
