CORRECT LYRICS
Lyrics : N&N
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Et ces épreuves qui viennent, laissent des traces et puis s'en vont, et toutes ces nuits qui se lèvent à chaque fois que les jours s’endorment
Ma conscience est noctambule, me parle plus dans le noir, et quand je marche seul, sur le chemin je ne croise que mes doigts, que mes doigts
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Solitaire j’en ai recours, dans un monde où tout explose sans raison, la vie est un véritable compte à rebours
Je me rapelle de cet endroit, y avait un arbre, nos voisins et leurs fils qui jouaient toujours sur du sable là
Au fil du temps on se disperse, à la recherche de nos combats, les expériences vécues nous protègent comme un convoi, comme un convoi
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Ne comptes sur personne pour chasser tes peurs, remplace son P par un H, afin de remettre les pendules à l’heure
Renier la base de son succès, juste une affaire à suivre, c’est en hiver qu’un arbre ressemble toujours à ses racines
Les plus sages sont pour la plupart des paresseux, comme des pompiers, sont la trop tard, la flamme a déjà fait des siennes, fait des siennes
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Les réflexes ne trompent pas un présumé lyriciste, quand je lisais une équation moi je voyais des rimes en X
Et si tes larmes s’invitent, faut pas les retenir, l’impression que tes problèmes complotent entre eux pour te nuire
Quelle que soit la bataille que l’on mènera, c'est du pareil au même, c'est à ta mort que l’on t'aimera
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie….
Et ces épreuves qui viennent, laissent des traces et puis s'en vont, et toutes ces nuits qui se lèvent à chaque fois que les jours s’endorment
Ma conscience est noctambule, me parle plus dans le noir, et quand je marche seul, sur le chemin je ne croise que mes doigts, que mes doigts
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Solitaire j’en ai recours, dans un monde où tout explose sans raison, la vie est un véritable compte à rebours
Je me rapelle de cet endroit, y avait un arbre, nos voisins et leurs fils qui jouaient toujours sur du sable là
Au fil du temps on se disperse, à la recherche de nos combats, les expériences vécues nous protègent comme un convoi, comme un convoi
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Ne comptes sur personne pour chasser tes peurs, remplace son P par un H, afin de remettre les pendules à l’heure
Renier la base de son succès, juste une affaire à suivre, c’est en hiver qu’un arbre ressemble toujours à ses racines
Les plus sages sont pour la plupart des paresseux, comme des pompiers, sont la trop tard, la flamme a déjà fait des siennes, fait des siennes
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie
Les réflexes ne trompent pas un présumé lyriciste, quand je lisais une équation moi je voyais des rimes en X
Et si tes larmes s’invitent, faut pas les retenir, l’impression que tes problèmes complotent entre eux pour te nuire
Quelle que soit la bataille que l’on mènera, c'est du pareil au même, c'est à ta mort que l’on t'aimera
Je m'évade aux chants de grillons, des lucioles pour m'éclairer, que des questions, peu de leçons, je médite, médite, médite
Eh oui, y a des nuits, y a des nuits, de la nostalgie….