CORRIGER LES PAROLES

Paroles : La Poésie

Tu me dis c’est si futile
L’existence et puis tout ça
Tu me dis que sur le fil
Rien n’existe mais tu n’sais pas
Que moi

J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney

Tu me demandes si je t’aime
Si nos rêves sont atrophiés
L’abnégation est un dilemme
J’avoue j’n’y ai pas trop pensé
Car moi

J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney

Tu voudrais que l’on construise
Une vie de poésie
Des amours aux rimes exquises
Rimbaldiennes à Varsovie
Mais moi

J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney

– Eh dis-donc toi, la chanson “une pet**e grosse sur un poney”, c’est d’moi dont tu parles, la p’t**e grosse sur un poney ?
– Ah non non non, c’est pas vous !
– Parc’que j’suis un peu enrobée ?
– Ah non non non, rien à voir ! C’est pas vous j’vous a**ure, c’est pas vous madame !
– Ouais c’est ça, ça veut dire quoi ça ? Ça veut dire que si j’étais une naine unijambiste, tu chanterais “la naine unijambiste sur son poney” ?
– Ahahahaha ouais heuu non non non je chanterai pas ça madame ! Non mais j’arrête maintenant, c’est terminé !
– Ouais c’est ça, allez vas-y dégage espèce de bouffon à lunettes là !
– oh…
Tu me trouves un peu absent
Que nous deux c’est plus comme avant
Je suis totalement d’accord avec toi
Mais je t’en prie excuse-moi car…

J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney

J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney
J’regarde une p’t**e grosse sur un poney

Je regarde
Une pet**e grosse
Je regarde
Une pet**e grosse
Sur un poney