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Paroles : Le Coup du Lapin
Sur scène, ils miaulent comme des chatons ; j'suis la loco', eux les wagons
Ils pompent plus qu'un cœur de baleine, bref, passons
J'viens exciter les grands darons sans retirer mon pantalon
J'suis un redoutable lyriciste doublé d'un fanfaron
Allons, gardons la tête froide à la Jeffrey Dahmer
Quand j't'appelle, use de ton portable comme d'un vibromasseur
Désolé pour ceux qui voulaient des rimes prévisibles ; j'ai besoin
De court-circuiter mes limites, de m’aliter pour pratiquer la pluralité féminine
Tu veux caresser ma grande [?], ramène-moi vite le laissez-passer
A38, ou bien reste en chien comme Gromit
T'es dans la soute, j'suis dans l'c*ckpit ; t'es dans la semoule, j'suis en orbite
T'es dans la [?], j'suis trop caustique ; je sens la mouille, tu sens trop l'sh*t
J'envoie la foudre et la tempête, tu prends la poudre d'escampette
Rattrape ce fou dans la trempette ; j'aime pas le foot et je t'emmerde
J'deviens vulgaire, faut qu'j'me tempère
Patibulaire, ma mine t'enterre
J'parie qu'tu blaires pas mon ton, frère, j'perds pas mon temps
T'es médusé, baise les yeuz' ou j'te change en pierre
Oui, je sais comment faire de ta vie un enfer
Mais j'veux qu'on reste en bons termes, j't'offre un verre de mon sperme
Ado', j'avais des boutons d'acné et j'étais vicelard
J'voulais ken' mais les filles disaient : "Tu dégoûtes, non merci"
À présent, comme l'anesthésiste face au corps sur le billard
J'peux m'faire plaisir tous les soirs, tous les trous sont permis
Ils pompent plus qu'un cœur de baleine, bref, passons
J'viens exciter les grands darons sans retirer mon pantalon
J'suis un redoutable lyriciste doublé d'un fanfaron
Allons, gardons la tête froide à la Jeffrey Dahmer
Quand j't'appelle, use de ton portable comme d'un vibromasseur
Désolé pour ceux qui voulaient des rimes prévisibles ; j'ai besoin
De court-circuiter mes limites, de m’aliter pour pratiquer la pluralité féminine
Tu veux caresser ma grande [?], ramène-moi vite le laissez-passer
A38, ou bien reste en chien comme Gromit
T'es dans la soute, j'suis dans l'c*ckpit ; t'es dans la semoule, j'suis en orbite
T'es dans la [?], j'suis trop caustique ; je sens la mouille, tu sens trop l'sh*t
J'envoie la foudre et la tempête, tu prends la poudre d'escampette
Rattrape ce fou dans la trempette ; j'aime pas le foot et je t'emmerde
J'deviens vulgaire, faut qu'j'me tempère
Patibulaire, ma mine t'enterre
J'parie qu'tu blaires pas mon ton, frère, j'perds pas mon temps
T'es médusé, baise les yeuz' ou j'te change en pierre
Oui, je sais comment faire de ta vie un enfer
Mais j'veux qu'on reste en bons termes, j't'offre un verre de mon sperme
Ado', j'avais des boutons d'acné et j'étais vicelard
J'voulais ken' mais les filles disaient : "Tu dégoûtes, non merci"
À présent, comme l'anesthésiste face au corps sur le billard
J'peux m'faire plaisir tous les soirs, tous les trous sont permis
