CORRECTAR LA LETRA
Letra : Briques rouges
Le panorama, c’est les briques, on dormira pas sans le bruit
J’regarde pas le ciel, il est gris, le panorama, c’est les briques rouges
J’en ai passé du temps sous l’abri
J’habite pas où le soleil brille
J’ai grandi à Roubaix, en vrai, c’est pas pour autant qu’j’étais pauvre
Eh, gros, j’y ai traîné en vrai, c’est pas pour autant qu’j’ai des potes
Et j’connais chaque ruelle, les quartiers, les différents dangers des pôles
Chacun son rituel et pour s’en écarter, lе p’tit frère a changé d’école
Un flic a tiré sur un p’tit cettе nuit sur le boulevard en face
J’peux même plus compter tous les crimes, ces trucs qu’on veut plus voir en France
Et depuis, la haine déborde dans nos veines, toujours à attraper les mêmes
Des crapules en tunique, des bleus sous les gros pulls en laine qu’on porte en hiver
Sous la puche-ca, le te-sh' calé dans l’froc, c’est la pluie qui me pique quand le ciel fâche
J’me rappelle de mes potes d’Anatole France, mon école, de mes cours dans le solfège
Dans le rap, faut les codes, faut la street cred’, j’suis un vrai, j’suis un type très discret
Rien à battre de la cote des rappeurs qui sont si falche
Le panorama, c’est les briques, on dormira pas sans le bruit
J’regarde pas le ciel, il est gris, le panorama, c’est les briques rouges
J’en ai passé du temps sous l’abri, j’habite pas où le soleil brille
Des gens peinent à ramasser les primes, mon bonheur à moi, c’est les briques rouges
J’regarde pas le ciel, il est gris, le panorama, c’est les briques rouges
J’en ai passé du temps sous l’abri
J’habite pas où le soleil brille
J’ai grandi à Roubaix, en vrai, c’est pas pour autant qu’j’étais pauvre
Eh, gros, j’y ai traîné en vrai, c’est pas pour autant qu’j’ai des potes
Et j’connais chaque ruelle, les quartiers, les différents dangers des pôles
Chacun son rituel et pour s’en écarter, lе p’tit frère a changé d’école
Un flic a tiré sur un p’tit cettе nuit sur le boulevard en face
J’peux même plus compter tous les crimes, ces trucs qu’on veut plus voir en France
Et depuis, la haine déborde dans nos veines, toujours à attraper les mêmes
Des crapules en tunique, des bleus sous les gros pulls en laine qu’on porte en hiver
Sous la puche-ca, le te-sh' calé dans l’froc, c’est la pluie qui me pique quand le ciel fâche
J’me rappelle de mes potes d’Anatole France, mon école, de mes cours dans le solfège
Dans le rap, faut les codes, faut la street cred’, j’suis un vrai, j’suis un type très discret
Rien à battre de la cote des rappeurs qui sont si falche
Le panorama, c’est les briques, on dormira pas sans le bruit
J’regarde pas le ciel, il est gris, le panorama, c’est les briques rouges
J’en ai passé du temps sous l’abri, j’habite pas où le soleil brille
Des gens peinent à ramasser les primes, mon bonheur à moi, c’est les briques rouges
