Correction Paroles L'enfant du pays par Manau

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Paroles

Tout commença par un petit cri dans la nuit
Dans le bois, près de l'endroit où les gens prient
À quelques pas, là où les menhirs ont grandi
Sous les bras de tous ceux qui savent aujourd'hui
Emportés par le vent et sous de grands nuages gris
Le son est venu au village et tous les anciens ont compris
Qu'une femme avait donné enfin là-bas, la vie
Un présage que l'on attendait, par ici
Ainsi arriva cette petite fille sous les bruits
Que s'est soulevée la fleur et quand un événement s'est produit
Juste après, tout n'était que silence et magie
Ce moment pour les dieux que l'on apprécie
Que le temps passa doucement pour l'enfant
Qui grandit dans les pas des sages du clan
Entre défi, combat, et surpassement
Traditions dont la foi visait l'important

Une femme
Au loin, a donné la vie
Un nouveau-né est ici
Les étoiles l'ont éclairé
Afin que ses yeux brillent
Une belle histoire va commencer
Soyez-en bien assurés
Entre amour et harmonie
Va l'enfant du pays

Tout se passait comme les anciens avaient dit
Dans la joie, le bonheur et beaucoup d'envie
D'apprendre tout ce que l'on me tait, nos décennies
Tous nos rois disparus, mais dans nos esprits
Longtemps, la jeune fille s'est bien amusée dès les cris
Qu'elle ne voulait pas trop connaître, préférant la voie et l'écrit
Des plus grands guerriers qui, un jour, avaient prédit
Que le clan connaîtrait longtemps l'accalmie
Rien n'était différent pour qui que se soit
L'enfant un peu plus grand apprenait de ça
Être toujours présent avant de dire : "Moi"
Connaître l'important, sillonner les pas
De tous nos anciens qu'il fallait toujours honorer
Loin de ces chemins menant à la facilité
Éloigné du bien où ce qui attirait danger
Être rien devant la grande immensité

La jeune femme se demandait très souvent
Pleine de flammes, toujours en questionnement
Si son charme n'était que vieux sentiment
Telle une arme qu'elle saurait bien se servir quand
Elle serait prête au combat face à la seule réalité
Qui la regarderait des fois sans jamais rien lui pardonner
Dans une vie si loin des draps où elle se sentait protégée
Et une vérité qu'on sait pas qu'il faut apprendre à maîtriser
Rien, rien ne pouvait dire, sauf les runes
Si l'enfant qui était né s'était endurci
Sous les boucliers, les hommes en sursis
Ne pouvaient qu'aimer s'ils étaient sûr si
Que la jeune fille serait reine le jour de ses vingt ans
Ainsi que l'avaient prédit, les vieux sages d'antan
La prophétie arriva quand l'enfant grandissant
Comprit ce qui était important

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