CORRECTAR LA LETRA

Letra : ROSE MARTHE'S LOVE

Maman, I love you, love

Tellement de blessures de guerre, tellement de blessures de père en fils
J'en connaîtrai que le tiers, douleurs sous la lavallière te crispent
De ta chair, t'as fait ma chair ; de ma chair, j'ai fait ta chair, mon fiston
J'ai peur de foutre la merde, de plus contrôler mes nerfs, je risque
God Bless, Hamdoullah, merci, au nom du Père, du Fils
Le négro est riche et populaire, en plus, il a pris rendez-vous au fisc
Non, jamais je pleure, je cache mes peines, au fond, j'suis triste
Dure est la vie dans le game, maman, je fume et je cède aux vices
J'suis plus entièrement le même, je crache ma haine tout l'temps
Négro fushia la ramène en mauvaise haleine, doucement
Grand-mère est partie, non, sans que je l'ai vue, je suis chagriné
Je me rends compte que ma présence valait bien plus que mes billets (ouais)
Médecin dit : "C'est la fin", j'le traite de fils de putain, je m'affole
Pété, j'sais plus trop quoi faire, j't'imagine six pieds sous terre, je frissonne
Papa dit : "Ça va aller" mais ses larmes ont déjà coulé aux urgences
J'te dis : "À demain" mais, bon, dans ton regard, il n'y a plus de résistance

Maman, I love you (eh), maman, I love you, love, love
Maman, I love you, love (eh), maman, I love you, love
Maman, I love you (eh), maman, I love you, love, love
Maman, I love you, devant Dieu, même si j'dis jamais dans les yeux
Maman, I love you, love (eh), maman, I love you, love, love
Maman, I love you, love (eh), maman, I love you, love
Maman, I love you, love (eh), maman, I love you, love, love
Maman, I love you, devant Dieu, même si j'dis jamais dans les yeux

J'sais pas pourquoi c'négro m'en veut (nan, nan)
Quand j'rate, il dit qu'c'est moi ; quand j'réussis, il dit qu'c'est Dieu (oui)
Un million, deux, trois ; j'aimerais t'revoir comme autrefois
J'suis sur le trottoir, death, espérons qu'c'n'est pas trop tard
Pourquoi tu pleures ? Nan, pourquoi tu pleures ? Nan, nan, nan
T'inquiète pas pour nous, j'ai d'la moula jusqu'à j'sais pas
Moi, à l'hôpital, j'ai vu : des amis, t'en avais deux
Maman, c'est chaud, tu t'oublies trop pour fils de putes qui n'pensent qu'à eux
Le cœur adamantin, travaille à temps plein : de toi, c'est c'que je retiens
Souffle te remplit de haine, journaliste dans le jeu, que dans la complainte
Fuck ces gens, oui, j'ai la haine, ton enterrement, faut pas qu'ils viennent
Allô, fiston ? C'est tantine, on s'connaît d'Adam mais plus d’Ève
Vilain changé devenu connu, c'était une grande chambre, pas une commune
J'vous ai pas vu, non, non, non, pourtant, tout l'monde avait son num'
Maintenant, ça crie : "Dieu soit loué", allez tous vous faire enculer
J'te dis : "À demain" aux urgences mais dans ton regard, il n'y a plus de résistance

Maman, I love you (eh), Maman, I love you, love, love
Maman, I love you, love (eh), Maman, I love you, love
Maman, I love you (eh), Maman, I love you, love, love
Maman, I love you, devant Dieu, même si j'dis jamais dans les yeux
Maman, I love you, love (eh), Maman, I love you, love, love
Maman, I love you, love (eh), Maman, I love you, love
Maman, I love you, love (eh), Maman, I love you, love, love
Maman, I love you, devant Dieu, même si j'dis jamais dans les yeux